Le Parti de l’égalité socialiste lutte pour organiser les travailleurs en France dans le cadre d’un mouvement international pour le socialisme. Le PES est la section française du mouvement trotskyste mondial, le Comité international de la IVe Internationale. Avec ses partis frères à travers le monde, le PES se bat pour construire une direction socialiste dans la classe ouvrière. Il vise à unifier toutes les luttes de la classe ouvrière pour ses droits fondamentaux dans un mouvement politique commun qui mettra fin à l’oppression de classe et à l’inégalité sociale.
Le PES insiste sur le fait que tous les grands problèmes auxquels l’humanité est confrontée — linégalité, l’exploitation, la guerre, l’autoritarisme et la dégradation de l’environnement — nécessitent l’établissement d’un État ouvrier, du contrôle démocratique de l’économie, la fin du système d’État-nation et la construction d’une société socialiste mondiale basée sur le principe de l’égalité sociale.
Seul un mouvement durable sur les lieux de travail et dans la jeunesse pour mobiliser les travailleurs en lutte pourra stopper la poussée de la classe capitaliste vers la dictature et la guerre.
Les liens américano-européens subissent une rupture historique et une guerre commerciale est mise en branle qui menace d’entraîner des attaques sans précédent contre les travailleurs aux États-Unis, en Europe et internationalement
Les tentatives de l'État capitaliste pour interdire les politiciens ou partis fascistes n'arrêteront ni la guerre ni les attaques contre les droits démocratiques, mais prépareront le terrain à des attaques contre la gauche et la classe ouvrière.
La France et la Grande-Bretagne se sont engagées à envoyer des troupes en Ukraine, au risque d’une guerre totale avec la Russie, sur fond de tensions euro-américaines, Washington et l’UE tentant d’accaparer des ressources en minerais de l’Ukraine.
Personne ne doit se faire d’illusion : l'administration Trump se dirige systématiquement et délibérément vers l'établissement d'une dictature.
Les mesures tarifaires ont été lancées sous la bannière « fabriqué en Amérique », mais il n'y a pas un seul produit, aux États-Unis ou ailleurs, qui ne soit le résultat d'un processus de production mondial.
Le cas de Taal s'inscrit dans un système plus large de terreur d'État qui se déploie actuellement aux États-Unis. La dissidence est criminalisée et l'architecture juridique de la dictature est en cours de construction.
Dimanche, le New York Times a publié un article détaillé sur l'implication des États-Unis dans la guerre en Ukraine, intitulé « Le partenariat : L'histoire secrète de la guerre en Ukraine », qui admet que « l'Amérique a été mêlée à la guerre bien plus intimement et largement qu'on ne le pensait jusqu'à présent ».
Le gouvernement du Land de Berlin veut expulser quatre militants pour avoir participé à des manifestations pro-palestiniennes. Cette action, sans précédent dans l'histoire allemande récente, montre que la classe dirigeante allemande n’est aucunement en reste par rapport au président fasciste américain Donald Trump ; elle recourt ici aussi aux méthodes dictatoriales pour imposer sa politique belliciste brutale.
Toutes les boulangeries de Gaza gérées par le Programme alimentaire mondial des Nations Unies ont fermé mardi en raison des pénuries de nourriture et de carburant causées par le blocus israélien.
Taal fait partie des centaines d'étudiants étrangers qui risquent l'emprisonnement et l'expulsion pour avoir exercé leurs droits au titre du Premier Amendement.
L'armée israélienne a tué puis écrasé au bulldozer les corps et les ambulances des travailleurs humanitaires palestiniens et de l'ONU qui tentaient de récupérer les victimes après que les forces israéliennes ont lancé une offensive dans le quartier de Tel al-Sultan, dans la ville méridionale de Rafah.
La classe dirigeante russe espère qu'un accord négocié avec les États-Unis concernant la guerre en Ukraine lui apportera un certain soulagement face au gouffre du déficit budgétaire creusé par la baisse de ses revenus pétroliers et les dépenses militaro-industrielles.
Dimanche, le New York Times a publié un article détaillé sur l'implication des États-Unis dans la guerre en Ukraine, intitulé « Le partenariat : L'histoire secrète de la guerre en Ukraine », qui admet que « l'Amérique a été mêlée à la guerre bien plus intimement et largement qu'on ne le pensait jusqu'à présent ».
La France et la Grande-Bretagne se sont engagées à envoyer des troupes en Ukraine, au risque d’une guerre totale avec la Russie, sur fond de tensions euro-américaines, Washington et l’UE tentant d’accaparer des ressources en minerais de l’Ukraine.
Alors que la démocratie s’effondre en Turquie sous la pression de la guerre impérialiste grandissante et des inégalités sociales une crise révolutionnaire aux dimensions mondiales se développe
Les piquets internationaux montés à Istanbul, Paris, Londres, Berlin, Washington, Toronto, Canberra et Sydney ont marqué un pas en avant important dans la construction d’une campagne internationale dans la classe ouvrière pour la liberté de Bogdan et la fin de la guerre impérialiste.
Le jeudi 13 juin, la lettre suivante du Parti de l'égalité socialiste et du comité de rédaction international du World Socialist Web Site sera remise à Oksana Markarova, l’ambassadrice d’Ukraine, à Washington DC.
L’accusation frauduleuse de trahison portée contre Syrotiuk vise à intimider et à réprimer l’opposition croissante des travailleurs et des jeunes ukrainiens au régime de Zelensky soutenu par l’impérialisme et à l’escalade de la guerre contre la Russie.
Le gouvernement du Land de Berlin veut expulser quatre militants pour avoir participé à des manifestations pro-palestiniennes. Cette action, sans précédent dans l'histoire allemande récente, montre que la classe dirigeante allemande n’est aucunement en reste par rapport au président fasciste américain Donald Trump ; elle recourt ici aussi aux méthodes dictatoriales pour imposer sa politique belliciste brutale.
Seul un mouvement durable sur les lieux de travail et dans la jeunesse pour mobiliser les travailleurs en lutte pourra stopper la poussée de la classe capitaliste vers la dictature et la guerre.
Les liens américano-européens subissent une rupture historique et une guerre commerciale est mise en branle qui menace d’entraîner des attaques sans précédent contre les travailleurs aux États-Unis, en Europe et internationalement
La classe dirigeante russe espère qu'un accord négocié avec les États-Unis concernant la guerre en Ukraine lui apportera un certain soulagement face au gouffre du déficit budgétaire creusé par la baisse de ses revenus pétroliers et les dépenses militaro-industrielles.
Stellantis fermera « temporairement » son usine d'assemblage de Windsor au Canada et son usine d'assemblage de Toluca au Mexique. Environ 4500 travailleurs à Windsor seront touchés. L'usine de Toluca emploie quant à elle quelque 2600 personnes.
Les géants américains de l’automobile sont parmi les plus touchés, mais toutes les entreprises automobiles du monde sont impactées, avec des conséquences négatives majeures, surtout pour les travailleurs américains que Trump, avec le soutien de la bureaucratie syndicale, prétend faussement défendre.
L'approbation par le syndicat des Travailleurs unis de l'automobile des droits de douane imposés par Trump équivaut à une déclaration de soutien à la guerre mondiale.
Avec cette déclaration, la bureaucratie syndicale montre clairement qu'elle s'aligne sur un gouvernement ouvertement fasciste qui tente d'ériger une dictature.
Le programme du Parti de l'égalité socialiste est principiel, non pas conjoncturel et pragmatique. Le PES se base sur la longue lutte du Comité international de la IVe Internationale pour le trotskysme au long du 20e siècle, et sur l'assimilation des expériences révolutionnaires stratégiques de la classe ouvrière et du mouvement socialiste international.
La pandémie a dévoilé non seulement l'état désastreux des infrastructures sanitaires, mais l'indifférence politiquement criminelle de la bourgeoisie. Afin de protéger leurs profits, les banques et les Etats avec l'aval des syndicats forcent les travailleurs même non-essentiels à reprendre le travail et les jeunes à reprendre les cours, faisant propager ainsi le virus. Une résurgence de COVID-19 est en marche à travers l'Europe, alors que la première vague s'étend encore à travers le monde. Face à la faillite des élites dirigeantes, le PES propose aux travailleurs en France et autour du monde de s'organiser dans des comités de sécurité sur les lieux de travail, indépendants des appareils syndicaux. Ces organisations peuvent veiller à la sécurité et à l'information des travailleurs et lutter pour une grève générale afin d'imposer une politique sanitaire scientifiquement fondée , et de transférer le pouvoir aux travailleurs.
L'administration Trump veut faire extrader Julian Assange, le célèbre journaliste australien, pour l'accuser d'espionnage et le condamner à la prison à perpétuité, voire la peine de mort. Son seul 'crime' est la publication d'un document exposant les crimes de guerre et les intrigues diplomatiques de l'impérialisme américain et de ses alliés. Le cas d'Assange est utilisé par des gouvernements du monde entier, y compris le gouvernement Macron en France, pour attaquer des journalistes et des lanceurs d'alerte et bâtir l'appareil d'un État policier. La défense d'Assange est au centre de la lutte pour unir la classe ouvrière internationalement contre le capitalisme et la guerre impérialiste.
Presque deux décennies après que les États-Unis ont lancé la “guerre contre le terreur,” le monde entier fait face à un maelstrom de violence impérialiste. Des millions de personnes sont mortes lors des guerres de l’impérialisme américain et de ses alliés au Moyen-Orient et en Afrique. Des dizaines de millions ont été mutilées ou forcées à fuir leurs foyers. Un siècle après la fin de la Première Guerre mondiale, ces conflits se transforment à nouveau en une conflagration mondiale.
Le PES lutte pour construire un nouveau mouvement international anti-guerre de la classe ouvrière. La lutte contre la guerre nécessite une lutte contre sa cause, le système capitaliste.
Vingt ans après que les Etats-Unis ont lancé une 'guerre contre la terreur,' le monde entier est entraîné dans une spirale de violence impérialiste.
La population est invitée à participer au vote concernant le débat au sein des élites au pouvoir sur la création ou non de Voice, un organe autochtone consultatif. Mais elle n’a pas de mot à dire sur les décisions qui menacent de déclencher une guerre mondiale nucléaire.
L’intervention du chancelier allemand Olaf Scholz aux Nations unies à New York a souligné à quel point l’impérialisme allemand se comporte à nouveau de manière agressive, en dépit de ses crimes historiques.
Le fait que toutes les factions de la classe dirigeante prônent la terreur contre les réfugiés souligne que les travailleurs et les jeunes sont confrontés à des tâches révolutionnaires.
Après l’échec de la contre-offensive ukrainienne, les États-Unis et l’OTAN s’orientent vers une intervention ouverte dans les combats contre les forces russes.
L'Union européenne et le gouvernement français, tout en participant à des guerres qui ont fait des dizaines de millions de réfugiés, persécutent sans relâche les immigrés. Ils sont pourchassés par l'UE en Méditerranée, où des milliers de réfugiés sont morts noyés, et réprimés brutalement à l'intérieur de la France. La réponse socialiste est d'ouvrir les frontières et de permettre la pleine liberté de mouvement. Ceci nécessite l'unification internationale de la classe ouvrière en une lutte révolutionnaire pour fonder des Etats ouvriers autour du monde.
